Jours du trois.
Il est 10h10 exactement, et cela fait depuis quelques jours déjà que je me hate que cette journée commence. On est le 3 Novembre, et c'est bizarre comme cette date tourne en boucle dans une litanie sans fin dans ma tête depuis un bon petit moment.
Anxieuse ? Soit, mais qui n'a jamais était anxieux lorsqu'une rencontre de gens qu'on affectionne particulièrement est au rendez-vous ? Des gens qu'on a jamais vu de notre vie, et pourtant on semble les connaître depuis longtemps, on semble savoir tout d'eux, de les connaître par coeur.
Et pourtant, je suis nerveuse et impatiente à la fois. Et je me vois déjà rire avec elles, je me vois déjà revenir avec pleins de bons et de mémorables souvenirs ancrés dans ma tête à jamais. C'est sur, des gens comme cela on les oublie pas, on ne veut pas...
4 Novembre
Moi qui avait peur de les voir, je ne veux qu'une chose désormais, c'est de me retrouver encore avec elles. Je n'ai jamais vu une journée se passer aussi vite, mais à la fois aussi lentement. Les fous rires en perspective ne se sont pas fait absent, tout comme le bonheur qui se lisait dans nos iris.
A mon arrivé à la gare d'RER à Vincennes, le stresse à comencé à se faire bien présent. Comment est-ce que je lui dis bonjour ? Que pourrai-je bien lui dire après ? Bref, tout un tas de questions trotaient dans ma tête, et bizarrement, je n'essayais même pas d'y trouver une réponse.
Un coup de téléphone, et je la vois rayonnante face à moi. J'eus l'impression que ce n'était pas notre première rencontre, et qu'au contraire, cela faisait depuis déjà longtemps qu'on se cotoyait.
Direction Paris, plus précisement au Palais Royal - Le Louvre, où la bas nous avons rejoind l'autre demoiselle que nous devions voir. Toute aussi radieuse, notre belge nous a entrainé dans des fous rires incontrolabes. La nerveusité surement...
Nous regrettions pas d'avoir choisie le Louvre comme rendez-vous. C'est entre l'Egypte, la Grece Anthique et les Tableaux d'arts anciens que nous avons passées d'exelent moment que nous ne sommes pas prete d'oublier.
Le soleil se couchait quand nous sommes allez sur les Champs Elysée. C'est drôle comme les champs m'ont parrus bien plus long qu'à l'accoutumé, peut-être est-ce dù à la lenteur où nous marchions car nous savions qu'au bout de cette traversée, on se séparera ...
Les au revoirs sont douleureux, et celui-ci là était particulièrement. On se dit à la prochaine, mais y en aura-t'il une véritablement ? L'espoir ne fait pas de mal parfois ...
C'était une journée que je ne regrette pas, une journée inoubliable ancrée dans mes souvenirs à jamais.